In rasantem Tempo verändern digitale Technologien, wie wir miteinander kommunizieren, uns informieren und mit unserer Umgebung interagieren. Auch auf die Gebäudeindustrie haben diese Veränderungen starke Auswirkungen. In einem Workshop der ETH Zürich diskutierten Expertinnen und Experten aus Industrie und Politik über aktuelle Trends digitaler Technologien im Gebäudebereich. Dabei behandelten sie verschiedene Themengebiete, von der Veränderung im Planungswesen durch softwarebasierte Projektsteuerung und 3D-Modelle bis hin zum Potential intelligenter Gebäudesysteme für den Energiebereich. Weiterlesen
In sehr grossen Geschäfts- und Wohnliegenschaften ist eine regelmässige Inspektion und Nachjustierung der Energieanlagen heute Standard. Diese ‚energetische Betriebsoptimierung‘ senkt den Verbrauch und spart Energiekosten. Weiterlesen
Ende Juli fand die Abschlussveranstaltung des diesjährigen Summer Institute der World Nuclear University (WNU) statt, welches während fünf Wochen in Rumänien und später der Schweiz durchgeführt wurde. Das WNU Summer Institute ist ein intensives internationales Programm zur Führungskräfteentwicklung. Es bietet interaktive Vorträge, Präsentationen eingeladener Führungskräfte, Exkursionen zu nuklearen und industriellen Einrichtungen, gesellschaftliche Veranstaltungen sowie Teamprojekte, die von weltweit anerkannten Mentorinnen und Mentoren geleitet werden. Weiterlesen
The ReFlex project aims at developing a replicability guideline for the deployment of technologically feasible, market based and user-friendly solutions for smart grids with a high level of flexibility. The focus was put on smart grid pilot projects with high level of renewable energy production, which are effectively and efficiently used locally through mixes of measures from voltage regulation, demand response, energy management and storage. Drawing on the learning experience among ReFlex partners, replicability-guidelines were elaborated to support the demo regions and the wider group of European smart grid stakeholders in deploying and advancing their smart grid initiatives. The project released the ReFlex Guidebook, a document that includes guidelines for the replicability of solutions for flexible smart grids. Weiterlesen
L’année 2019 sera celle des camions 100% électriques. Sur un marché boosté par l’accroissement des exigences écologiques, les principaux constructeurs ont annoncé leur intention de commercialiser d’ici 2020 de nouveaux utilitaires moins polluants, peu bruyants et, à terme, économiquement intéressants. Lausanne teste actuellement un prototype de 26 tonnes pour la collecte des ordures. Weiterlesen
Um das Stromnetz und dessen Kopplung mit dem Gas- und Wärmenetz besser verstehen zu können, bauen die ETH Zürich, das Paul Scherrer Institut (PSI) und die Empa eine gemeinsame Forschungsplattform auf. Diese trägt den Namen ReMaP, was für «Renewable Management and Real-Time Control Platform» steht. Weiterlesen
Wie versorgt sich die Schweiz im Jahr 2035 mit Energie? Was sind die grössten Herausforderungen? Der Verband Schweizer Elektrizitätsunternehmen hat die dritte Ausgabe seines Berichts «Energiewelten» veröffentlicht und lässt die Leserinnen und Leser darin in die Energiewelt von morgen eintauchen. Zu Grunde liegt dem Bericht der «VSE-Trend 2035», der jährlich aktualisiert wird, um der raschen Entwicklung der Energiebranche Rechnung zu tragen. Er beschreibt mittels fünf Dimensionen die energiewirtschaftliche, technologische und regulatorische Entwicklung. Weiterlesen
Solarpotenzial von Schweizer Gemeinden wird durch Open Government Data sichtbar
Das Bundesamt für Energie publiziert über 60 Datensätze als sogenannte offene Behördendaten (Open Government Data OGD). Diese Datensätze stehen der Bevölkerung zur freien Nutzung zur Verfügung. Dass die Bundesverwaltung einen grossen Schatz an frei verfügbar Daten bereitstellt, ist für viele nichts Neues. Was mit den Daten angestellt werden kann aber schon. Weiterlesen
«Le thème de la récupération de la chaleur des sols avait été abordé dans le numéro 5/14 (page 12) du magazine energeia. Le professeur Lyesse Laloui présentait alors son programme de recherche. Cet article de l’EPFL présente l’évolution de cette technologie depuis celui paru dans energeia.»
Des chercheurs de l’EPFL sont parvenus à quantifier avec précision les échanges de chaleur dans un tunnel. En appliquant leurs calculs à la future ligne de métro M3 de Lausanne, ils ont estimé l’économie d’énergie que ferait la ville en équipant le tunnel d’un système géothermique. Il s’agirait d’une première mondiale.
Dans un tunnel abritant un train ou un métro, les échanges de chaleur sont nombreux. Lorsque le métro freine et accélère, par exemple, le tunnel connaît un pic de chaleur. Cet air chaud se mélange à l’air naturellement présent dans le tunnel et à la chaleur émanant du sol.
Le calcul de la chaleur provenant de l’air était jusqu’ici effectué de manière imprécise par les ingénieurs. Les chercheurs du Laboratoire de mécaniques des sols (LMS) de l’EPFL viennent de corriger ceci dans une étude parue dans la revue Applied Thermal Engineering. Les ingénieurs sont en effet parvenus à donner une estimation précise de ce coefficient-clé, appelé le coefficient de convection thermique.
Cette découverte ouvre la voie à l’exploitation d’un tunnel géothermique au bénéfice des bâtiments situés en surface. Les chercheurs ont d’ailleurs testé leurs calculs sur le cas du tunnel du futur métro lausannois, le M3, amené à relier la gare centrale au nord de la ville (quartier de la Blécherette).
Alimentation de 1500 appartements
«Nos recherches montrent qu’en utilisant 50 à 60% du tracé planifié, 60’000 m2 du tunnel pourraient être activés avec ce système géothermique et alimenter en chaleur 1500 appartements standards d’une taille moyenne de 80m2 et 4000 appartements Minergie», explique Margaux Peltier, assistante scientifique au LMS dont le projet de Master est à l’origine de la publication. Ce système a l’avantage de pouvoir stocker de la chaleur et la diffuser en temps voulu dans les logements. «La ville éviterait l’émission de 2 millions de tonnes de CO2 par an, comparé à un système de chauffage au gaz», ajoute la chercheuse dont le calcul n’a pas tenu compte des gares du métro ni du dépôt des rames, prévu au nord de la ville, qui pourraient aussi bénéficier de cette énergie.
Dans les infrastructures souterraines, la température de l’air tend à retrouver sa stabilité et à rejetter en surface la chaleur et la fraîcheur excédentaires. Ce rejet se traduit par des mouvements d’air chaud que l’on ressent parfois en passant près d’une bouche de métro. C’est ce phénomène physique que comptent exploiter les ingénieurs, en complément de la chaleur naturellement présente dans le terrain.
Concrètement, les chercheurs proposent d’introduire des tubes de plastique dans la structure en béton du tunnel du métro à intervalles réguliers et de les relier à une pompe à chaleur. Un fluide calorifique ou, tout simplement, de l’eau, serait ensuite introduit dans les tubes, à l’image d’un frigo. En introduisant de l’eau froide dans les tubes du tunnel durant l’hiver, c’est de l’eau chaude que le système rejettera en surface, et inversément durant l’été. L’équipement géothermique du tunnel présenterait un investissement et une énergie grise négligeables, précisent les chercheurs, pour une durée de vie allant de 50 à 100 ans. Seules les pompes à chaleur devraient être remplacées toutes les 25 ans.
Chauffage et climatisation
Une fois équipé, le tunnel aurait l’avantage de chauffer les appartements alentours en hiver, en assurant jusqu’à 80% des besoins énergétiques. Les besoins restants seraient complétés, idéalement, par une autre énergie renouvelable. En été, et c’est là la singularité de ces géostructures, les appartements pourraient aussi être refroidis par le système géothermique: «Le tunnel offrirait un système de chauffage et de climatisation très fiable toute l’année», indique Margaux Peltier, qui souligne que le cas lausannois offre un grand potentiel de climatisation. Le système pourrait notamment servir à refroidir la patinoire prévue dans le futur écoquartier «Métamorphose».
«Cette publication montre que la technologie des tunnels énergétiques est mature et que nous pourrions l’exploiter au niveau d’un quartier», précise Lyesse Laloui, directeur du LMS. «Reste à savoir si l’industrie suisse est prête à jouer le rôle de pionnière en la matière car seuls des tronçons-tests ont été exploités à ce jour dans le monde.» A noter que les chercheurs ont présenté les résultats de leur étude aux Services industriels de Lausanne, aux Transports Lausannois (TL), au Canton de Vaud, le maître d’œuvre du futur métro, et à la Ville de Lausanne.
Sandrine Perroud, Mediacom EPFL
L’article a été publié dans les actualités de l’EPFL en juin 2019
Image: EPFL
Am Geothermie-Forum von Ende Juni waren sich alle anwesenden Expertinnen und Experten einig: Das Potenzial der Erdwärme als Ressource ist unbestritten und rückt immer mehr ins Bewusstsein der Öffentlichkeit. Ihr wahres Potenzial liegt jedoch nicht ausschliesslich bei der Ressource, sondern in den vielfältigen Kombinationsmöglichkeiten, in thermischen Netzen und Speichersystemen. So kann die Geothermie CO2-neutrale Lösungen bieten für eine Vielzahl aktueller und künftiger Herausforderungen. Weiterlesen
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