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Toujours plus de propriétaires immobiliers installent dans leurs maisons une chaudière à pellets. Rien qu’en 2021, une augmentation de 45% des ventes a été observée en Suisse. Ces nouvelles chaudières sont installées dans des nouvelles constructions, mais aussi principalement lors de changements de chauffage ou lors de rénovations pour remplacer un modèle fossile au mazout ou au gaz. Les chaudières à granulés sont une bonne alternative à ces chaudières et sont faciles à utiliser. Tout n’est pas rose dans la branche, l’hiver prochain des pénuries d’approvisionnement pourraient se développer en Suisse si les fournisseurs n’arrivent pas à remplir leurs silos et à augmenter la production. Weiterlesen

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La mobilité électrique devrait apporter une importante contribution à la réduction du réchauffement climatique. Pour cela, le nombre croissant de voitures électriques, y compris les bornes de recharge, doit être intégré dans l’alimentation électrique existante. Weiterlesen

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Dans le garage, la lumière s’allume automatiquement à votre passage. Votre voiture électrique fait office de stockage intermédiaire pour l’électricité produite par les modules photovoltaïques installés en toiture. En entrant dans le bâtiment, vous vérifiez sur votre smartphone quels locaux sont encore libres et vous en réservez un, ce qui entraîne la mise en route du chauffage dans ce dernier. Bien des aspects considérés il y a peu encore comme relevant de la science-fiction sont désormais devenus réalité grâce à l’Internet des objets (IdO). Ce dernier est déjà bien implanté dans le secteur du bâtiment, où il n’améliore pas seulement le confort des utilisatrices et utilisateurs, mais aussi l’efficacité énergétique. Weiterlesen

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Les documents ou les travaux qui étaient autrefois stockés quelque part dans des archives souterraines sont désormais conservés sous forme numérique dans des centres de données. A cela se sont ajoutées beaucoup de nouvelles données qui ne se trouvent plus à la maison, mais sauvegardées de manière dématérialisée. Une nouvelle étude commandée par l’Office fédéral de l’énergie montre aujourd’hui que la consommation d’électricité de ces centres de données et salles de serveurs continue d’augmenter. En 2019, celle-ci s’élevait à 2,1 térawattheures (TWh). Cela correspond à un quart de la production annuelle de la centrale nucléaire de Gösgen.

Comment évaluer ces chiffres? Quelles sont les perspectives d’avenir? La consommation d’électricité va-t-elle continuer à augmenter en raison de la numérisation croissante? Où existe-t-il des possibilités d’économiser de l’électricité? Energeiaplus s’est approché de Mihaela Grigorie, spécialiste des appareils et des appels d’offres à l’OFEN, qui a dirigé l’étude menée par la Haute-école de Lucerne et TEP Energy GmbH.

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Vous vous intéressez à la pose d’une installation solaire photovoltaïque? Vous avez demandé des offres à un ou plusieurs installateurs? Peut-être que ces offres proposent en option un système de stockage par batteries!? Mais qu’en est-il réellement? Les batteries sont-elles une solution intéressante? Faut-il se lancer? Comment évolue ce marché? Weiterlesen

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Ces dernières années, divers navires à propulsion électrique ont été présentés, dans lesquels l’électricité est produite par l’énergie solaire sur le navire lui-même. Weiterlesen

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Le 4 novembre, l’association suisse des géologues CHGEOL a organisé un symposium sur la géothermie intitulé «Géothermie: Quo Vadis?». Les acteurs de la géothermie – industrie, académie, administration fédérale et milieu politique – se sont réunis pour faire l’état des lieux de la géothermie en Suisse et pour débattre des voies à suivre dans le futur. Weiterlesen

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L’exploitation de notre sous-sol, notamment par des opérations d’injection dans le cadre de projets de géothermie ou stockage du CO2, semble prometteuse. Mais comment limiter la menace de séismes provoqués par ces activités? Des chercheurs de l’EPFL et de l’Office fédéral de l’énergie se sont penchés sur le sujet.

Tous les tremblements de terre ne sont pas d’origine naturelle. Certaines secousses sont directement ou indirectement déclenchées par des activités humaines. Ces «séismes induits» font partie des plus grands défis liés aux opérations d’injection de fluides (liquides ou gazeux) dans les sous-sols, telles que les projets de géothermie profonde ou le stockage du CO2.

Des chercheurs du Laboratoire de mécanique des sols (LMS) de l’EPFL et de l’Office fédéral de l’énergie (OFEN) ont uni leurs forces pour proposer de nouvelles stratégies qui permettraient de réduire les risques de séismicité induite liés à ces activités. Leur travail est publié dans la revue Geophysical Journal International.

 

Un entraînement personnalisé pour la géothermie profonde
Suite aux séismes de Bâle en 2006 et de Saint-Gall en 2013, la géothermie profonde, et plus particulièrement le Système Géothermique Stimulé (SGS), fait débat en Suisse. Durable, renouvelable et neutre en carbone, l’énergie géothermique est pourtant une piste à explorer en vue des ambitions zéro carbone et de la stratégie énergétique 2050 de la Suisse.

Le principe du SGS est de créer artificiellement un réservoir géothermique dans des roches chaudes sèches et imperméables à 3 kilomètres ou plus de profondeur. Pour ceci, on a recours à des injections hydrauliques sous pression, appelées «stimulations». Le problème est que celles-ci peuvent s’accompagner d’une activité microsismique.

En effet, lorsque l’on injecte un fluide dans un réservoir géothermique, la pression interstitielle (pression exercée par l’eau contenue dans les pores de la roche) augmente. «On pense souvent que c’est uniquement ce phénomène qui est à l’origine des séismes induits. Or, ce n’est pas si simple», explique Barnaby Fryer, assistant-doctorant au LMS et premier auteur de l’étude. «Le régime de contraintes tectoniques, c’est-à-dire la géométrie et le sens de mouvement de la faille, entre également dans l’équation».

 

Un numéro d’équilibriste
Il existe trois types de régimes de contraintes: extensif (les deux blocs sont tirés dans des directions opposées), compressif (les deux blocs sont comprimés l’un contre l’autre) et coulissant (les deux blocs coulissent horizontalement). Ces régimes sont la conséquence des forces exercées verticalement et horizontalement sur les blocs rocheux.

Images: Barnaby Fryer, LMS/EPFL
De gauche à droite: régime extensif, régime compressif, régime coulissant

Les scientifiques de l’EPFL et de l’Office fédéral de l’énergie sont partis du constat que plus la contrainte différentielle est faible (c’est-à-dire que les contraintes maximales et minimales sont proches en amplitude), plus la faille est stabilisée et, par conséquent, plus le risque de tremblement de terre est faible. «La question qui se pose donc est: quel est le régime de contrainte auquel est soumis le réservoir et de quelle manière peut-on l’influencer afin de limiter les événements mouvements sismiques de grande ampleur?», souligne Gunter Siddiqi, chef adjoint de la section Recherche énergétique de l’OFEN et deuxième auteur de l’étude.

Les chercheurs proposent donc une sorte d’entraînement du réservoir géothermique en amont des stimulations. Dans le cas d’une faille inversée, où la contrainte horizontale domine, un fluide froid est injecté dans le sous-sol pendant une longue période (un an au minimum). «Le refroidissement du réservoir va entraîner une contraction de la roche et donc permettre de diminuer la force horizontale exercée sur elle», détaille Barnaby Fryer. «La contrainte différentielle étant moins importante, les risques de tremblement de terre seront moindres».

 

Mettre la pression
Contrairement à ce que l’on peut penser, l’injection à haute pression n’est pas toujours synonyme de sismicité. «Dans presque tous les réservoirs, seule la contrainte horizontale change de manière significative», décrit Barnaby Fryer. «Dans un régime extensif, la contrainte verticale est plus importante que la contrainte horizontale. De ce fait, si on augmente la pression interstitielle en injectant un liquide, la contrainte horizontale va augmenter et se rapprocher de la valeur de la contrainte verticale, diminuant ainsi la différence entre les deux.»

Cette opération va stabiliser la faille, à condition de la réaliser dans un réservoir où les contraintes réagissent de manière significative au changement de pression interstitielle. «C’est pourquoi il est important de connaitre les propriétés d’un réservoir avant toute opération d’injection», précise le chercheur.

 

Des enjeux importants
Selon Gunter Siddiqi, cette étude met en place des modèles qui donnent aux industriels les outils pour minimiser les risques de séismes induits. «Être capable de prendre en compte tous les scénarios et d’agir en fonction pourrait permettre de développer des projets prometteurs», conclut le scientifique.

Julie Haffner, EPFL Mediacom

Cet article a déjà été publié sur le site internet de l’EPFL.

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Ce soir, l’Office fédéral de l’énergie décerne pour la treizième fois le Watt d’Or, le prix suisse de l’énergie. L’édition 2020 distingue les lauréats suivants: ZHAW en collaboration avec Schmid Hutter AG Winterthur et Meyer Orchideen AG (catégorie Technologies énergétiques), Regio Energie Solothurn (catégorie Énergies renouvelables), Viktor Meili AG et Designwerk Products AG (catégorie Mobilité économe en énergie), et l’EPFZ (catégorie Bâtiments et espace). Weiterlesen

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Le traditionnel séminaire romand de l’association Biomasse Suisse a été organisé jeudi dernier à Lausanne avec le soutien du programme SuisseEnergie. Sous le titre interrogateur «Biogaz: un levier contre le réchauffement climatique?», la centaine d’experts présents à échanger sur le rôle positif de la méthanisation, non seulement du point de vue énergétique, mais également climatique et agronomique. Weiterlesen

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